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Ressources naturelles et environnement

Des réfugiés et leurs hôtes s’affairent ensemble à planter un million d’arbres, dans le cadre d’une vaste campagne de reboisement dans l’État du Nil blanc, au Soudan. Le projet a débuté en 2017 et il est situé dans une zone semi-aride, qui a été déboisée en grande partie pour le bois de chauffage et les matériaux de construction, explique l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR). 

Closeup of a Panda

Depuis sa première édition en 1974, la  est devenue une plate-forme mondiale de sensibilisation du public et elle est largement célébrée dans le monde entier. Cette année, elle est placée sous le thème de la biodiversité. Il s'agit d'un appel à l’action pour lutter contre la perte accélérée d’espèces et la dégradation du monde naturel.  La période que nous vivons est exceptionnelle. Il est temps de se réveiller. Les aliments que nous consommons, l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, bon nombre médicaments qui sauvent des vies et le climat qui rend notre planète habitable proviennent tous de la nature. En cette Journée mondiale de l’environnement, c’est le temps de la nature.

« Si vous prenez soin de la terre, elle prendra soin de vous », explique Tsefaye Kidane, 40 ans. Il cultive du café dans la réserve de biosphère de Kafa, une zone protégée du sud-ouest de l'Éthiopie, qui est également considérée comme le berceau de l'arabica sauvage. Pourtant, lorsqu'il a repris l’exploitation de son père, la qualité du sol était mauvaise et les récoltes de plus en plus irrégulières. Aujourd’hui, c'est un agriculteur heureux car il est parvenu à inverser la situation avec le soutien d’un programme de la Banque mondiale consacré à la gestion durable des terres en Éthiopie. 

Il est urgent d'agir pour sauvegarder la biodiversité des forêts mondiales face aux niveaux élevés de déforestation et de dégradation, souligne la dernière édition du , produit par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE). La crise du COVID-19 a mis en lumière l'importance de conserver et d'utiliser de manière durable la nature car la santé des populations est intrinsèquement liée à la santé des écosystèmes.

Au Soudan du Sud, les services sociaux essentiels ont été gravement perturbés par des années de conflits. Environ 4,1 millions d’enfants ont besoin d’une aide humanitaire, dont 1,3 million d’enfants de moins de 5 ans souffrant de malnutrition aiguë en 2020, d’après les estimations.

Au cours des 50 dernières années, nous avons perdu plus de 60% des populations animales et, si ne nous ne faisons rien, nous risquons d’en perdre 1 million de plus, comme ce Bécasseau spatule, un petit échassier migrateur et en danger critique d’extinction.

Close-up of a bee

Les abeilles et les autres pollinisateurs, tels que les papillons, les chauves-souris et les colibris, sont de plus en plus menacés par les activités humaines. La pollinisation est cependant un processus fondamental pour la survie des écosystèmes car de lui dépendent la reproduction de près de 90% des plantes sauvages à fleurs du monde, ainsi que 75% des cultures vivirères et 35% des terres agricoles à l’échelle de la planète. Non seulement les pollinisateurs contribuent directement à la sécurité alimentaire, mais ils constituent aussi des leviers essentiels pour la conservation de la biodiversité. Ce 20 mai, découvrez ce que vous pouvez faire pour protéger les pollinisateurs et pour en savoir plus sur l'apiculture au temps de la COVID-19 !

Close-up of a bee

Les abeilles et les autres pollinisateurs, tels que les papillons, les chauves-souris et les colibris, sont de plus en plus menacés par les activités humaines. La pollinisation est cependant un processus fondamental pour la survie des écosystèmes car de lui dépendent la reproduction de près de 90% des plantes sauvages à fleurs du monde, ainsi que 75% des cultures vivirères et 35% des terres agricoles à l’échelle de la planète. Non seulement les pollinisateurs contribuent directement à la sécurité alimentaire, mais ils constituent aussi des leviers essentiels pour la conservation de la biodiversité. Ce 20 mai, découvrez ce que vous pouvez faire pour protéger les pollinisateurs et pour en savoir plus sur l'apiculture au temps de la COVID-19 !

Le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) intensifie son travail dans le domaine de la cartographie des menaces zoonotiques et de protection de la nature afin de réduire le risque de futures pandémies. 

Reefs in shallow water.

Les efforts déployés contre la pandémie de coronavirus ont entraîné une réduction de l’activité industrielle et des améliorations localisées de la qualité de l’air. La diminution des émissions de gaz à effet de serre ne doit toutefois pas dispenser d’une action climatique durable, font valoir les Nations Unies au moment où de nombreux pays préparent des plans de sortie de crise.

Les conséquences de l'exploitation minière sur l'environnement imposent d'équilibrer ces activités avec la gestion d'autres ressources naturelles précieuses et les droits des populations et communautés locales, souligne le  dans un .

Coral reef in Alor, Indonesia

’océan occupe 70 % de la surface de la Terre et représente la plus grande biosphère de la planète. Or, les activités humaines font peser sur l’océan des menaces sans précédent. La gestion prudente de cette ressource vitale mondiale est un élément clé pour un avenir durable. La Conférence sur les océans, qui aura lieu à Lisbonne, au Portugal, du 2 au 6 juin 2020, se tiendra à un moment critique, alors que le monde renforce ses efforts pour mettre en œuvre les 17 objectifs de développement durable, dont celui qui vise à conserver et à exploiter de manière durable les océans, les mers et les ressources marines. En ce moment, le Siège de l’ONU, à New York, accueille une réunion préparatoire à cette Conférence.

Chaque année, des individus ou des organisations ayant apporté une contribution remarquable à la protection de l'environnement sont récompensés. Le processus de désignation pour l'année 2020 est ouvert !

’ (OMT) et le (PNUE) viennent de lancer une initiative qui vise à réduire les niveaux de pollution par le plastique imputables au secteur du tourisme. Objectif : permettre aux entreprises et aux destinations touristiques d'être en première ligne pour transformer leur secteur.

Les mégafeux, qui brûlent des surfaces de plus de 40 000 hectares, sont provoqués par des températures élevées et à la sécheresse. Ils sont extrêmement difficiles à contenir, explique ONU-Environnement.