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Le Tribunal a conclu que :

a) le demandeur ne satisfaisait pas aux critères qui étayeraient sa demande de protection des dénonciateurs

b) Les faits de la décision attaquée ont été dûment établis. Étant donné que la plaignante possédait les qualifications et l’expérience requises, les attaques de la demanderesse à son endroit n’étaient pas fondées et ne constituaient pas une réponse ou un commentaire juste dans les circonstances. Les préoccupations étaient diffamatoires à l’égard de son professionnalisme et de son intégrité. En conséquence, le demandeur a tenu des propos désobligeants à l’égard...

Il ressort systématiquement des réponses d’AA, ou de l’absence de réponses, aux nombreux textes du demandeur sur le « pari » proposé qu’il trouvait ces messages importuns. Par exemple, AA a écrit au demandeur : « Toujours sur ce sujet, mec ? » ; « J’accorde plus de valeur à ma dignité que 2 000 $ » ; « Je ne parie pas » ; "Je pensais que c’était un pari vraiment stupide haha que je ne me forcerais jamais à me payer, mais vous n’avez cessé d’en parler 1298548065908 fois. C’est pourquoi je dis que si vous continuez sur ce sujet émotionnel, je vous enverrai mon compte FCNU et c’est tout" ; « Le...

Le TANU a d'abord examiné la demande d'audition du fonctionnaire et a décidé qu'elle n'était pas nécessaire pour un traitement rapide et équitable de l'affaire.

Le TANU a observé que lorsque les seules personnes présentes lors d'une agression physique sont l'auteur et la victime, une audition peut être utile pour parvenir à des conclusions sur la crédibilité. Toutefois, dans ce cas, le TANU a noté que l'agent et son avocat avaient convenu qu'ils n'avaient pas de témoins à présenter lors d'une audience et qu'ils préféraient s'appuyer sur le rapport d'enquête. Dans ces circonstances, l'UNDT n'a...

2024-UNAT-1493, AAY

Le Tribunal d'appel a estimé que, dans son traitement rigide des preuves relatives au comportement d'AAY, l'UNDT n'a pas tenu compte de ce qu'avait admis AAY lorsqu'il avait été interrogé par le Bureau des services de contrôle interne. Le fait qu'AAY ait choisi de ne pas témoigner lors de l'audition de l'UNDT montre clairement qu'il s'en tient à la déclaration qu'il a faite aux enquêteurs du BSCI. L'UNDT était tenue de prendre en compte cette preuve incontestée de sa part dans son évaluation de la preuve de la faute commise à son encontre, d'autant plus qu'il n'a pas choisi de témoigner...

Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en concluant que l'acte du fonctionnaire consistant à offrir un jouet sexuel à un subordonné était inapproprié, car il transgressait la frontière entre la vie professionnelle et la vie personnelle du subordonné, même si l'événement s'était déroulé en privé. Qu'il ait été sollicité ou non, il pouvait avoir un impact négatif sur l'image et les intérêts de l'Organisation. Par conséquent, le TANU a conclu qu'en agissant de la sorte, l'agent n'avait pas respecté les normes requises pour son rôle de gestionnaire.

Le TANU a également estimé...

Le Tribunal a statué comme suit

1. Le requérant s'est livré à plusieurs reprises à des tentatives de corruption en demandant de l'argent à au moins six réfugiés en échange de la promesse de services du HCR qui auraient dû être fournis gratuitement. Par conséquent, la décision de licencier le requérant était légale.

2. Les faits reprochés à la requérante ont été prouvés de manière cohérente et non équivoque, et le défendeur s'est acquitté de la charge de prouver que la requérante a accepté des pots-de-vin de la part de certains réfugiés, ou du moins qu'elle les a demandés.

3. La mesure...

Compte tenu de l'absence de preuves directes devant le Tribunal, la victime présumée ayant refusé de témoigner, le Tribunal a estimé que le défendeur n'avait pas réussi à prouver de manière claire et convaincante, ni même de manière prépondérante, les allégations factuelles ayant conduit à la conclusion de l'USG/DMSPC selon laquelle le requérant l'avait harcelée sexuellement. Dans le même ordre d'idées, la partie défenderesse n'a pas non plus démontré que le requérant avait créé un environnement de travail hostile pour elle.

Bien que les actions et le comportement du requérant n'aient pas...

D'emblée, le Tribunal d'appel a noté que Mme Monasebian n'avait fourni que peu ou pas de raisons à l'appui de sa demande d'anonymisation de l'arrêt, si ce n'est une déclaration générale selon laquelle les informations relatives à son affaire étaient sensibles. Le Tribunal a estimé que l'anonymisation n'était pas justifiée en l'espèce et a rejeté sa demande.


Le Tribunal d'appel a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en concluant qu'il existait une prépondérance de la preuve que Mme Monasebian avait adopté un comportement qui avait créé un environnement de travail intimidant...

Le TANU a observé que le Secrétaire général avait choisi de limiter la portée de son appel aux seules conclusions du TANU concernant deux des neuf cas de faute présumée de la part de l'ancien fonctionnaire. Le TANU a également reconnu que le Secrétaire général soutenait que le TANU avait commis une erreur de droit en appliquant les critères juridiques du harcèlement et du harcèlement sexuel aux deux incidents.
Néanmoins, le TANU a estimé que pour trancher la question en appel, il ne suffisait pas d'appliquer le bon critère juridique. Pour parvenir à des conclusions, il ne suffit pas de tenir...

En ce qui concerne la question de savoir si les faits ont été établis par des preuves claires et convaincantes, le Tribunal a estimé que, sur la base des témoignages crédibles et des autres éléments de preuve figurant dans le dossier, le défendeur avait établi par des preuves claires et convaincantes que le requérant avait commis les actes à l'origine de la mesure disciplinaire imposée. Le Tribunal a estimé que le témoignage de la victime était crédible et a établi que le requérant avait effectivement harcelé sexuellement la victime. En ce qui concerne l'inconduite, le Tribunal a conclu qu'il...