Après avoir examiné le dossier, le Tribunal a conclu que le requérant n’avait pas contesté les faits sur lesquels la mesure disciplinaire était fondée. Il n’a pas contesté non plus que ses actes constituaient juridiquement une faute ou que ses droits à une procédure régulière avaient été respectés. En conséquence, la principale question en l’espèce était de savoir si la mesure disciplinaire imposée était proportionnée à l’infraction commise. Cependant, comme la proportionnalité de la sanction ne peut être examinée de manière isolée, le Tribunal a jugé approprié de se référer aux faits établis...
Les faits incontestés sont sans ambiguïté et laissent peu de place à des interprétations différentes. Des excuses n'invalident ni n'annulent la faute commise. Le fait que la requérante n'ait pas été informée de l'impact négatif de sa pratique n'a aucune incidence sur la détermination des faits. Ainsi, l'administration a établi les faits qui sous-tendent la mesure disciplinaire en question par prépondérance de preuve.
Le fait que la requérante ait utilisé des jurons à l'égard de ses subordonnés et qu'elle se soit largement adressée à ses collègues par des surnoms sur le lieu de travail a été...
Les allégations selon lesquelles le requérant a utilisé de manière inappropriée son ordinateur portable fourni par le PNUD pour accéder à des sites Internet contenant de la pornographie et d'autres contenus sexuellement explicites et faisant la publicité de services d'escorte, ont été établies par des preuves claires et convaincantes basées sur le rapport d'expertise de son ordinateur, les aveux partiels du requérant et plusieurs contradictions.
Il existe également des preuves claires et convaincantes que le requérant s'est engagé dans trois cas d'activités extérieures non autorisées en tant...
L'enquête a établi avec succès que le demandeur s'est engagé dans le harcèlement en milieu de travail à sept occasions différentes contre les trois plaignants. En commettant du harcèlement sur le lieu de travail, le demandeur a violé les normes d'intégrité les plus élevées et s'est engagé dans un comportement inconvenant d'un fonctionnaire international. En tant que tel, sa conduite constitue une mauvaise conduite sérieuse. Cependant, la mesure disciplinaire de la séparation du service imposée au demandeur s'est avérée trop sévère d'une lumière liée à la pénalité des mesures disciplinaires...
Le tribunal a convenu avec l'intimé que le demandeur était imprudent dans son échec à signaler une fraude dont il était au courant. Il a choisi de cacher et d'abattait la perpétration d'une fraude. Les faits ont été établis selon la norme requise par les propres admissions du demandeur et les preuves enregistrées. Le tribunal a jugé que les faits établis constituaient clairement une faute inculpée. Les éléments de l'accusation de encourage et de dissimulation de la fraude ont été établis par le biais de la preuve. Le requérant qui avait la possession de connaissances importantes sur le...
Le tribunal a jugé que le demandeur avait l'obligation en tant que membre du personnel de respecter les normes d'intégrité les plus élevées qui incluent le jeu avec l'honnêteté. Dans ses soumissions, elle a fait valoir qu'elle avait agi honnêtement et avec honnêteté. Elle a donné des raisons pour lesquelles elle pensait pouvoir utiliser les actifs de l'organisation pour un bénéfice personnel. Le tribunal a constaté que les justifications du demandeur n’étaient étayées par aucune règle ou règlement. Elle a agi malhonnête dans la violation des normes d'intégrité en utilisant l'installation UPS...
Ratione materiae à la création. La demande d’évaluation de la gestion du demandeur n’était pas claire qu’il faisait des allégations d’inconduite contre son superviseur, qui devraient faire l’objet d’une enquête consciencieusement, ou citant des problèmes de performance ou de gestion à résoudre par la direction. De même, le demandeur n'a fourni aucune preuve que la question de la légalité de la décision de le placer sur l'ALWP ait jamais été officiellement contestée par lui. Par conséquent, toute détermination contre la décision de ne pas enquêter davantage sur les plaintes du requérant contre...
Si les faits sur lesquels la mesure disciplinaire étaient fondées ont été établies en ce qui concerne le chef, le tribunal conclut qu'il existe des preuves claires et convaincantes que le requérant n'a pas divulgué son conjoint et son père en droit avec deux partenaires de mise en œuvre de l'UNICEF, de que le demandeur était le responsable du programme responsable au nom de l'UNICEF. Dans sa demande, le demandeur ne conteste pas non plus ce fait. Se tournant au compte deux, le tribunal est convaincu que le demandeur a reçu une allocation de dépendance de conjoint auquel il n'avait pas droit...