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Le Tribunal d¨¦cid¨¦ de rejeter la requ¨ºte.

? la lumi¨¨re des faits ¨¦tablis et de la constatation de faute, les trois all¨¦gations mentionn¨¦es contenues dans la lettre portant sanction, relatives ¨¤ des ? atteintes sexuelles ?, constituent des ? fautes graves ? selon les termes de l¡¯alin¨¦a (b) de l¡¯article 10.1 du Statut du personnel. En outre, au regard de l¡¯alin¨¦a (a) de la disposition 10.2 du R¨¨glement du personnel, sur le fondement duquel la sanction a ¨¦t¨¦ impos¨¦e, l¡¯imposition du renvoi est une possibilit¨¦.

Le renvoi est l¡¯une des sanctions les plus s¨¦v¨¨res qui puissent ¨ºtre impos¨¦es dans une...

La demande d'¨¦valuation de la gestion pr¨¦sent¨¦e par le requ¨¦rant le 16 septembre 2023 n'a pas ¨¦t¨¦ d¨¦pos¨¦e dans les d¨¦lais, car elle a ¨¦t¨¦ d¨¦pos¨¦e apr¨¨s l'expiration du d¨¦lai de 60 jours pr¨¦vu par la r¨¨gle 11.2(c) du R¨¨glement du personnel. Toutefois, il n'y a pas de question d'autorit¨¦ de la chose jug¨¦e dans le cas pr¨¦sent.

En l'absence d'informations et/ou de preuves suppl¨¦mentaires, le DSS/SSS a en effet agi dans le cadre de son pouvoir discr¨¦tionnaire en vertu de l'article 1.2(c) du Statut du personnel et de l'art. 100.2 de la Charte des Nations Unies, en d¨¦cidant de ne pas donner suite ¨¤ la...

Le TANU a estim¨¦ que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en concluant que la demande de l'agent n'¨¦tait pas recevable parce qu'il n'avait pas demand¨¦ l'¨¦valuation de la d¨¦cision contest¨¦e par l'encadrement dans le d¨¦lai l¨¦gal de 60 jours. Le TANU a d¨¦termin¨¦ que, puisque l'agent avait ¨¦t¨¦ inform¨¦ les 27 et 28 avril 2022 du rejet de sa demande d'¨¦valuation m¨¦dicale, il disposait d'un d¨¦lai de 60 jours ¨¤ compter de cette date pour introduire sa demande d'¨¦valuation par l'encadrement. Cependant, il n'a soumis sa demande au Groupe du contr?le hi¨¦rarchique que le 3 novembre 2022, puis au...

Le TANU a estim¨¦ que le TNDU n'avait pas commis d'erreur en concluant que la mesure disciplinaire impos¨¦e ¨¦tait l¨¦gale.
Le TANU a rejet¨¦ l'argument de l'ancien membre du personnel selon lequel la d¨¦cision de M¨¦decins sans fronti¨¨res (MSF) lui interdisant de collaborer avec l'association ¨¤ l'avenir ne pouvait ¨ºtre qualifi¨¦e de mesure disciplinaire, puisqu'elle lui avait ¨¦t¨¦ communiqu¨¦e alors qu'il n'¨¦tait plus employ¨¦ par l'association. Le TANU a estim¨¦ que cet argument n'¨¦tait pas recevable, car il avait d¨¦j¨¤ ¨¦t¨¦ pr¨¦sent¨¦ devant le TNDU.
En tout ¨¦tat de cause, le TANU a d¨¦termin¨¦ que la...

Le TANU a estim¨¦ que l'UNDT avait correctement identifi¨¦ le PNUD comme le d¨¦fendeur dans la pr¨¦sente affaire, car c'est le PNUD qui g¨¦rait le poste de l'agent et qui ¨¦tait donc son employeur. Le TANU a estim¨¦ que la demande de l'agent ¨¦tait pr¨¦matur¨¦e parce qu'il l'avait d¨¦pos¨¦e avant d'avoir re?u la r¨¦ponse de l'¨¦valuation de la gestion, ou du moins avant l'expiration du d¨¦lai de r¨¦ception de cette r¨¦ponse. Le TANU a ¨¦galement conclu que la r¨¦ponse ¨¤ l'¨¦valuation de la gestion ne constituait pas la d¨¦cision administrative contest¨¦e.
Le TANU a rejet¨¦ l'appel et confirm¨¦ le jugement n¡ã UNDT...

La requ¨¦rante n¡¯ayant pas r¨¦ussi ¨¤ ¨¦tablir l¡¯ill¨¦galit¨¦, l¡¯irr¨¦gularit¨¦ de la proc¨¦dure, la mauvaise foi ou la motivation inappropri¨¦e dans la d¨¦cision du d¨¦fendeur de ne pas accepter sa demande de retrait de sa d¨¦mission, la demande a d? ¨ºtre rejet¨¦e.

Si le d¨¦fendeur n¡¯avait pas exerc¨¦ son pouvoir discr¨¦tionnaire pour rejeter la demande de retrait de d¨¦mission de la requ¨¦rante, il aurait ¨¦t¨¦ contraint d¡¯annuler les d¨¦cisions de s¨¦lection d¨¦j¨¤ communiqu¨¦es et accept¨¦es par trois autres membres du personnel. Cela aurait constitu¨¦ une rupture des contrats de travail des trois membres du personnel...

Le TANU a interpr¨¦t¨¦ la requ¨ºte comme une demande de correction du pr¨¦c¨¦dent jugement du TANU.

Le TANU a not¨¦ que le dossier de l'ancien Tribunal administratif des Nations Unies r¨¦v¨¦lait que le Pr¨¦sident de ce Tribunal avait prorog¨¦ le d¨¦lai d'introduction du recours, mais qu'une copie de cette d¨¦cision n'avait pas ¨¦t¨¦ vers¨¦e au dossier soumis au TANU. Le TANU a observ¨¦ qu'il avait rendu son jugement de rejet du recours, sans avoir connaissance de la d¨¦cision du Pr¨¦sident.

Le TANU a cependant constat¨¦ que le recours de l'agent avait ¨¦t¨¦ re?u par le Tribunal administratif des Nations Unies...

D'une part, le d¨¦fendeur a admis qu'une erreur avait ¨¦t¨¦ commise lorsque l'offre initiale de nomination a ¨¦t¨¦ transmise au requ¨¦rant. D'autre part, le requ¨¦rant a sign¨¦ la lettre de nomination formelle sur la base de l'offre initiale qui ¨¦non?ait les droits, car la lettre formelle ne contenait pas ces droits. Compte tenu de ces circonstances, le Tribunal consid¨¨re que l'affaire se pr¨ºte parfaitement ¨¤ la m¨¦diation. Cette proc¨¦dure permettra aux parties de parvenir ¨¤ une solution satisfaisante dans ce qui semble ¨ºtre un cas d'erreur et de malentendu.

Le Tribunal renvoie donc la pr¨¦sente...

En tant que titulaire d'une offre d'affectation d'un Volontaire des Nations Unies, le requ¨¦rant ne peut pas introduire une requ¨ºte devant le Tribunal, car il n'est ni un membre du personnel ou un ancien membre du personnel des Nations Unies, ni une personne faisant des r¨¦clamations au nom d'un membre du personnel des Nations Unies frapp¨¦ d'incapacit¨¦ ou d¨¦c¨¦d¨¦.

Deuxi¨¨mement, il n'y a aucune preuve que le requ¨¦rant a soumis une demande d'¨¦valuation de la gestion en temps voulu.

Par cons¨¦quent, la demande n'est pas recevable reatione personae et ratione materiae.