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Le Tribunal a examiné les éléments de preuve versés au dossier et les raisons invoquées par le défendeur pour ne pas sélectionner le requérant et a conclu que, sur la base des informations fournies par le requérant, la décision du défendeur de ne pas le sélectionner ne pouvait pas être considérée comme injuste. Le candidat n'avait pas la certification CIPS niveau 2 qui était une exigence obligatoire pour le poste, et il n'a pas prouvé qu'il avait deux ans d'expérience progressive dans la gestion des achats.

En outre, la suggestion du candidat dans ses observations selon laquelle le jury de...

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Le défendeur a contesté la recevabilité de la requête. Toutefois, le Tribunal l'a jugée recevable car il a considéré que la requérante contestait la décision de ne pas ouvrir d'enquête sur sa plainte pour conduite potentiellement interdite, et non le résultat de l'évaluation de la gestion comme le soutenait le défendeur.
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Le Tribunal a rappelé qu'il n'est pas mandaté pour mener une nouvelle enquête sur l'affaire, ni pour tirer ses propres conclusions des éléments de preuve. Il est plutôt chargé de déterminer si l'évaluation préliminaire a été menée correctement sur la base...

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Le requérant a fait valoir à juste titre qu’il ne contestait pas la promulgation de l’AI de mobilité. Il ressortait clairement du contenu de la requête qu’il ne contestait pas l’existence de l’AI de mobilité en tant que décision réglementaire du Secrétaire général affectant tous les membres du personnel. Au contraire, il contestait l’impact de ce qu’il percevait comme une décision spécifique prise après avoir accepté l’offre d’emploi, à savoir que l’AI de mobilité serait une condition de son contrat de travail. Le Tribunal a donc jugé la requête recevable.

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Le Tribunal a...

En ce qui concerne la décision de non-installation, le Tribunal a observé qu'au moment où le requérant a pris son service, les restrictions familiales à Naqoura (son lieu d'affectation) étaient en place depuis six semaines, et que les conditions avaient entraîné l'attribution au lieu d'affectation d'un classement spécial de difficultés « D ». L'existence d'un conflit armé et la détérioration de la situation en matière de sécurité rendaient dangereuse la présence de personnes à charge sur le lieu d'affectation. Par conséquent, la décision de ne pas amener la famille du requérant dans la zone...

Le Tribunal a noté que les éléments de preuve dont il disposait indiquaient que la décision contestée était contenue dans une lettre datée du 21 mai 2024. Le 30 mai 2024, le chef du bureau local de l'UNICEF ( » CFO ») a rencontré le requérant pour lui remettre en main propre la lettre de sanction, mais le requérant n'a pas signé de déclaration de réception. En conséquence, le CFO a noté : « Document lu au personnel le 30/05/2024, qui a ensuite refusé d'accuser réception de la lettre ». Le même jour, l'unité de droit administratif a envoyé la décision contestée au requérant par courrier...

Le Tribunal a statué comme suit

1. Le requérant s'est livré à plusieurs reprises à des tentatives de corruption en demandant de l'argent à au moins six réfugiés en échange de la promesse de services du HCR qui auraient dû être fournis gratuitement. Par conséquent, la décision de licencier le requérant était légale.

2. Les faits reprochés à la requérante ont été prouvés de manière cohérente et non équivoque, et le défendeur s'est acquitté de la charge de prouver que la requérante a accepté des pots-de-vin de la part de certains réfugiés, ou du moins qu'elle les a demandés.

3. La mesure...

Le Tribunal a statué comme suit

1. Dans la mesure où la décision A a déjà fait l'objet de deux arrêts devenus définitifs, cette partie de la requête est irrecevable en raison de l'autorité de la chose jugée.

2. Les recours de la requérante contre les décisions B, C et D, fondés sur sa réclamation du 12 novembre 2020 au titre de l'annexe D, sont irrecevables car prescrits.

3. Les décisions consécutives aux décisions A à D ont toutes été rejetées comme irrecevables parce qu'elles ne pouvaient pas se suffire à elles-mêmes.

Appealed

Le Tribunal a statué :

a. Tout report de la communication à la caisse de retraite des informations relatives à la cessation de service du requérant ne peut être justifié que dans un délai raisonnable ; la prolongation indéfinie d'une enquête violerait les droits contractuels d'un membre du personnel à la liquidation de ses droits définitifs ainsi que le droit à une définition en temps utile de toute procédure disciplinaire éventuelle à son encontre.

b. La durée prolongée de l'enquête ne justifiait pas la retenue du dernier paiement et de la pension du requérant pendant une période aussi...

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Le Tribunal a estimé que :

a. Les violations continues commises par le requérant pendant plus d'un an et demi, malgré une réprimande antérieure, de nombreux avertissements, une directive claire et une nouvelle enquête, montrent clairement qu'il a délibérément ignoré les règles applicables interdisant à son épouse de vivre avec lui dans un lieu d'affectation déconseillé aux familles.

b. Par la prépondérance des preuves, le Tribunal est persuadé que le requérant a menacé un autre membre du personnel, comme l'a constaté l'Organisation.

c. Les menaces du requérant et ses violations répétées...

Les déclarations verbales générales, qui, selon le requérant, ont été faites par son premier notateur lors de réunions d’équipe, ne peuvent constituer une promesse expresse de renouvellement de son TA. Plus important encore, ces déclarations verbales ne contenaient pas les éléments essentiels d’une offre de renouvellement appropriée et concrète, tels que la durée de la prolongation et le nom de la personne nommée. En outre, le Tribunal a conclu qu’aucun engagement officiel n’avait été pris par écrit envers le requérant pour justifier une attente de renouvellement de son TA.

Le Tribunal a...